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 des cas d'autocombustion

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isabelle
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MessageSujet: des cas d'autocombustion   des cas d'autocombustion EmptyJeu 24 Mar - 2:58

Faits : La propriétaire apporta un télégramme à la porte de l'appartement de Mrs. Reeser. Elle cogna trois fois et attendit. Pas de réponse, elle cogna de nouveau. Toujours pas de réponse. Elle essaya d'ouvrir. La poignée de la serrure était chaude, ce qui lui rappela la légère odeur de fumée qu'elle avait remarquée un peu plus tôt. Mais l'odeur avait disparu, et elle n'avait pas appelé les pompiers. Après avoir encore cogné plusieurs fois, elle appela la police, qui arriva et enfonça la porte. Une vision incroyable les attendait. Au milieu de l'appartement, un gros fauteuil rembourré avait brûlé jusqu'à ses ressorts métalliques, il y avait un peu de suie au plafond et le tapis était brûlé autour du fauteuil ; à part cela, le feu avait été sans importance. Mais où était Mrs. Reeser ?
En avançant jusqu'au fauteuil, la police découvrit ce qui en restait. Sa tète était là, complètement carbonisée et réduite à la dimension d'une balle de tennis. Elle trouva aussi un fragment de sa colonne vertébrale et un petit morceau d'un pied. C'était tout, sauf quelques cendres grises autour du fauteuil. Le coroner fut stupéfait. Comment un feu si peu important qu'il n'avait brûlé que le capitonnage d'un fauteuil, et n'avait été qu'à peine remarqué dans la maison, avait-il pu consumer aussi complètement un corps humain ? On fit appel au docteur Wilton Krogman, spécialiste très connu de la mort par le feu, à l'Ecole de médecine de l'Etat de Pennsylvanie, qui était en vacances aux environs. « C'est la chose la plus stupéfiante que j'ai jamais vue » dit-il. « Je ne peux pas imaginer une crémation aussi complète sans plus de dommages à l'appartement lui-même. Je n'ai jamais vu non plus de crâne humain ainsi réduit par une chaleur intense. Le contraire a toujours été vrai : les crânes ont soit anormalement grossi soit virtuellement explosé en cent morceaux. » La police envisagea le suicide, l'accident et le crime, mais sans trouver aucun motif pour cette mort. Surtout, il n'existait pas de moyen connu par lequel Mrs. Reeser aurait pu être tuée de la sorte. Il faut une chaleur de prés de 2 500 degrés et environ trois heures de temps pour consumer un corps humain à ce point.
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MessageSujet: Re: des cas d'autocombustion   des cas d'autocombustion EmptyJeu 24 Mar - 3:00

Faits : Vesey avait longtemps écrit des romans de « fiction astrologique » et se mêlait plus ou moins d'occultisme. Il travaillait seul dans son cabinet, dans une maison de ferme isolée. Comme il s'activait, à l'époque, sur un projet très spécial, il demanda à sa femme et à son fils d'aller faire un tour d'à peu prés une heure pour le laisser seul avec son travail. En rentrant, ils trouvèrent sur le plancher du living- room les restes racornis et carbonisés de Peter Vesey. Rien d'autre n'avait brûlé. Un peu de feu était allumé dans la cheminée à l'autre bout de la pièce. Mais cela ne pouvait pas avoir eu de rapport avec la mort de Vesey.

Faits : Léon Eveille, 40 ans, fut retrouvé complètement réduit en cendres dans sa Simca, dans un bois de sapins prés d'Arcis-sur-Aube (Aube). Le plus étrange, dans ce cas, c'est que les vitres de la voiture avaient totalement fondu. Or, une automobile qui brûle n'engendre pas une chaleur supérieure à 700 degrés Centigrade, et le verre ne fond qu'à environ 1000 degrés Centigrade. Personne n'a trouvé d'explication à ce feu ardent qui a pu fondre le verre...

Faits : Rentrant de promenade, un professeur non désigné de l'Université de Nashville regagna son cabinet. Tandis qu'il notait les indications de ses instruments météorologiques, il sentit soudain comme une brûlure à la jambe gauche. Il se frotta pour faire cesser cette douleur, mais celle-ci s'accrut. Et sur la jambe de son pantalon, il vit une flamme d'un ou deux centimètres de large. Il abattit ses mains sur elle, pour lui couper l'oxygène et elle s'éteignit bientôt. Il quitta son pantalon et découvrit qu'il avait la peau enlevée sur 7,50 cm de long. Son caleçon (long) avait un trou brûlé au même endroit mais le pantalon était à peine marqué. La brûlure de la jambe guérit très lentement. Ce cas fut qualifié, à l'époque, de « combustion spontanée partielle ».

Faits : La mère d'un certain John Wright s'embrasa soudain, alors qu'elle était assise avec sa bonne, devant sa cheminée où brûlait un peu de feu. La bonne put éteindre les flammes des vêtements, mais un peu plus tard cela recommença. De nouveau, les flammes purent être éteintes. Mais le lendemain, on retrouva la vieille dame transformée en torche vivante, dans sa cuisine. On l'éteignit, et on la mit au lit ; encore une fois, elle prit feu. Wright incrimina la bonne pour ces accidents, mais sa mère le démentit énergiquement. Elle déclara que c'était « quelque chose de surnaturel » qui l'attaquait.

Faits : Jean Millet, tenancier de l'auberge du Lion d'Or, s'endort tandis que sa femme Nicole ferme l'établissement. Vers 2h30 du matin, il est réveillé en sursaut par une forte odeur de fumée. Dans la grande salle du bas, il découvre, dans un fauteuil intact, le corps calciné de son épouse. La police l'accuse alors d'avoir immolé sa compagne par le feu. Fort heureusement pour lui, un client (un jeune chirurgien nommé Le Cât) réussit à disculper l'aubergiste en prouvant au tribunal l'existence de cas similaires à l'étranger.
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MessageSujet: Re: des cas d'autocombustion   des cas d'autocombustion EmptyJeu 24 Mar - 3:06

Faits : C'est par une matinée glaciale que John Heymer, un officier de la police judiciaire britannique, fut dépêché pour les besoins d'une enquête sur un cas de «décès par combustion», survenu à Ebbw Vale, dans le Gwent, au pays de Galles. Arrivé au pavillon où les faits venaient de se produire, ce policeman constata avec étonnement, en pénétrant dans le salon, que l'atmosphère y était lourde et très humide. Une lumière orangée, un peu irréelle, éclairait la pièce. Sur le tapis du salon, John Heymer tomba en arrêt devant un tas de cendres, à l'extrémité duquel sortaient deux pieds humains. À l'autre extrémité de cet amas de cendres, d'un blanc brillant, l'officier distinguait un crâne noirci. Voilà tout ce qu'il restait du corps de Henry Thomas, le septuagénaire vivant là. Hormis le fauteuil à armatures en bois, brûlé aux deux tiers, dans lequel la victime était assise, nul autre objet de la pièce n'avait été atteint par les flammes. Tout le salon était en revanche maculé d'une pellicule de chair humaine, comme vaporisée sur les murs et sur le mobilier, y compris sur l'ampoule électrique et les fenêtres. C'est ce sinistre filtre qui donnait à la lumière l'étrange couleur orangée qui, d'emblée, avait intrigué John Heymer. Le policier poursuivit son état des lieux. Pourtant saturés de matières grasses fondues, les pans de tapis et de moquette situés sous le corps n'étaient brûlés que sur une épaisseur minime, de quelques centimètres, Heymer s'étonna : comment un corps humain, pouvant contenir prés de 45 litres d'eau, avait-il pu brûler et être réduit en cendres alors que les tissus à son contact, n'étaient que superficiellement atteints ? L'expert légiste venu constater les faits confirma que le fauteuil n'avait brûlé qu'à l'endroit où il avait été en contact avec le corps. Lorsque le fauteuil s'était effondré, laissant choir le corps en flammes sur le sol, il avait alors cessé de se consumer. Les autres éléments du mobilier n'avaient pas été attaqués par les flammes car la combustion initiale avait, semble-t-il, vite épuisé l'oxygène présent dans une pièce aux ouvertures calfeutrées, Heymer s'étonna à nouveau : dans ces conditions, pourquoi le corps aurait-il continué sa propre combustion jusqu'à se réduire presque totalement en un petit tas de cendres fines et blanches ? Henry Thomas, âgé de 73 ans, était non fumeur, ce qui limita les possibilités de cause d'incendie.

Faits : Le corps d'un homme de 58 ans (en excellente santé puisqu'il s'agissait, ironie du sort, d'un pompier à la retraite) fut ainsi retrouvé réduit à sa plus simple expression : deux kilos de cendres et quelques os. Comme très souvent dans ce genre d'affaires, rien d'autre dans la maison n'avait brûlé, pas même une boîte d'allumettes proche du corps de la victime. Pour réduire un corps en cendres de façon aussi radicale, la température doit s'élever aux environs de 2500 °C, une chaleur bien plus importante que celle dégagée par un incendie détruisant un bâtiment entier !

Faits : Le pompier Jack Stacey fut appelé pour un incendie dans une maison abandonnée de Londres. Quand il arriva sur les lieux, il vit que le bâtiment lui-même ne présentait aucun signe de dégâts causés par le feu, mais lorsqu'il pénétra à l'intérieur de la maison, Stacey trouva un corps en train de brûler, celui d'un SDF connu sous le nom de Bailey.
A l'agonie, Bailey avait mordu à pleines dents la rampe de l'escalier, ce qui indique qu'il était vivant lors du déclenchement de la combustion. Les pompiers durent écarter ses mâchoires à l'aide d'une barre de fer...
"Il avait une fente d'environ 10 cm au milieu de l'abdomen", se rappelle Stacey. « Des flammes en sortaient avec la force d'un chalumeau, » Pour tenter, selon ses propres termes, d'éteindre l'incendie "à la source", Stacey plaqua directement la lance d'incendie sur le ventre du pauvre hère. Pour le pompier, il ne faisait aucun doute que les flammes s'étaient déclarées à l'intérieur même du corps. L'origine de "l'incendie" n'a jamais été précisée. Il n'y avait, à proximité, pas de branchement de gaz ou d'électricité, ni même d'allumettes. Et si la victime avait laissé tomber une cigarette incandescente sur son ventre, des expériences menées par la suite démontrèrent que ça n'aurait pas suffi à produire un feu d'une telle puissance.

Faits : Jeannie Saflin, une malade mentale âgée de 62 ans, prit soudain feu alors qu'elle était assise sur une chaise en bois, dans sa cuisine. Son père, assis à côté d'elle, vit soudain une sorte d'éclair. Se tournant vers Jeannie, il constata que son corps était en flammes, particulièrement le visage et les mains. Jeannie ne criait pas, ne bougeât pas. Son père la traîna jusqu'à l'évier et appela son gendre Donald à la rescousse. Accourant, ce dernier se figea en voyant les flammes lécher le visage et le ventre de Jeannie. Les deux hommes parvinrent à éteindre le feu, mais Jeannie décéda peu après à l'hôpital. La qualification de la cause du décès de Jeannie allait prendre du temps. L'inspecteur chargé de l'enquête ne lui trouva aucune explication rationnelle, il fit un rapport dans ce sens. Il informa la famille de Jeannie que, selon lui, elle était morte accidentellement, victime d'une combustion spontanée.
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MessageSujet: Re: des cas d'autocombustion   des cas d'autocombustion EmptyJeu 24 Mar - 3:09

Faits : Ginette Kazmirczak mène une vie discrète et effacée dans le logement de fonction de son fils, l'instituteur du village. Le soir du 12 mai 1977, elle est seule dans l'appartement car son fils est de sortie. Vers 3 heures du matin, sa voisine de palier se réveille en sursaut. Sa chambre est pleine de fumée. Elle sort et voit de petites flammes qui dévorent le bas de la porte d'entrée de Mme Kazmierzak. Elle alerte les pompiers qui, très vite arrivés, se trouvent devant un spectacle d'épouvante. Le corps de Mme Kazmierczak gît carbonisé sur le plancher, contre la porte d'entrée, mais les jambes, le bassin et le bras droit sont intacts alors que la tête, le tronc et l'abdomen ne sont plus que cendres. Il a fallu une température énorme (2000°C !) pour arriver à ce macabre résultat.
Fait étrange : seul le plancher sous le buste de la victime révélera des traces d'incendie. Les murs et le sol sont maculés de suie, mais rien d'autres n'a brûlé dans l'appartement. Le poêle à mazout et le chauffe-eau sont éteins. L'électricité fonctionne correctement. Crime, suicide ? Ces thèses sont écartées à défaut d'éléments matériel pouvant les étayer.
Le parquet de Nancy ouvre une enquête et charge le capitaine Laurain d'une expertise. Ce dernier reprend toutes les hypothèses : explosion d'une bombe aérosol ou d'un gaz (mais l'embrasement du mobilier aurait alors été total), crime (mais la porte était fermée de l'intérieur), foudre (la météo invalidera cette possibilité). L'expert doit admettre qu'il s'agit bien là d'une combustion humaine spontanée. En conséquence, le 18 Janvier 1978, le parquet de Nancy prononcera une ordonnance de non-lieu dans cette affaire. Ce cas troublant a été reconstitué dans le cadre de l'émission "mystère" sur TF1.

Faits : Jack Angel, aujourd'hui septuagénaire, s'est fait une bonne situation dans le prêt-à-porter. La nuit du 12 novembre 1974, sa caravane, convertie en salon d'exposition, est garée sur le parking d'un motel à Savannah en Géorgie aux Etats-Unis. Après avoir fait son lit, il a enfilé son pyjama et s'est endormi. Il s'éveille quatre jours plus tard et remarque que sa main droite est noire du poignet jusqu'au bout des doigts. «Elle était brûlée, cloquée», a-t-il expliqué au chercheur Harry E. Arnold de Pennsylvanie qui a consacré de nombreuses années à l'étude du phénomène de C-H-S (Combustion humaine spontanée).
«Et il y avait eu comme une explosion dans ma poitrine qui avait fait un trou, j'étais brûlé... à la cheville et dans le dos par taches». Comme il ne souffre pas, il se douche avant de mettre la chemise et le pantalon qu'il portait quatre jours plus tôt. Ni ses vêtements, ni ses draps, ne révèlent la moindre trace de feu. Tenant son bras blessé de l'autre main, Angel traverse le parking du motel, quelques minutes plus tard, il s'évanouit. Il reprendra ses esprits à l'hôpital mais en état de choc et souffrant d'une douleur atroce. Les médecins sont eux aussi en état de choc en constatant que la brûlure s'est prolongée vers l'intérieur de l'avant-bras, détruisant une bonne partie des tissus cutanés. Angel demandera à sa femme de fouiller la caravane, ce qu'elle fit sans rien trouver, ni trace de feu ou d'objets carbonisés. Angel sera un peu plus tard amputé de l'avant-bras, car sa main s'est infectée, risquant d'envahir le bras tout entier.

Faits : Premier cas retenu par l'histoire : celui de la comtesse Comelia Bandi, daté du 4 avril 1731. La scène se passe en Italie, prés de Vérone. Agée de soixante-deux ans, la comtesse n'a jamais été malade de sa vie. Ce soir-là, elle dîne avec le chanoine Bianchini et s'endort après avoir bavardé avec sa camériste. Le lendemain matin, vers huit heures et demie, comme tous les jours, la femme de chambre vient réveiller sa maîtresse. Un affreux spectacle s'offre à ses yeux : « Le plancher de la chambre, rapporte une gazette de l'époque, était parsemé de grosses taches d'apparence humide et gluante, tandis qu'un liquide gras, jaunâtre, écoeurant, coulait le long de la fenêtre, emplissant la pièce d'une odeur répugnante. » Des traces de suie salissaient les meubles. Par contre, le lit n'avait pas été endommagé et les draps chiffonnés indiquaient que la comtesse Bandi avait eu le temps de se lever. Elle gisait à 1 m du lit : un petit tas de cendres, deux jambes intactes toujours gainées de soie fine, une moitié de boîte crânienne, c'est tout ce qui subsistait de Cornelia Bandi...
Le médecin légiste et les policiers appelés sur les lieux sont bien incapables d'expliquer ce qui a pu se passer. Placide, le magistrat chargé du rapport écrit : « Un feu mystérieux semble s'être allumé spontanément dans la poitrine de la comtesse. » Puis il classe le dossier.

Faits : Le 3 juin 1782, une vieille demoiselle disparaît en fumée. Mérille, le chirurgien chargé d'examiner l'affaire, écrit : « Le sommet de la tête gisait sur un des chenets, à quarante-cinq centimètres du feu. Le reste du corps gisait de travers, en face de la cheminée, et n'était plus qu'une masse de cendres. Même les os les plus solides avaient perdu leurs formes et leur consistance. On retrouva le pied droit entier, mais roussi. Bien que ce fut une journée froide, il n'y avait dans le foyer que deux ou trois morceaux de bois brûlés. » Honnêtement, il ajoute que, dans la journée qui a précédé la disparition de Mlle Thaus, des témoins ont vu celle-ci absorber plusieurs litres de vin et un litre de cognac. Un tel exemple a incité un médecin légiste américain, le docteur Dixon Mann, à émettre l'hypothèse selon laquelle ces cas de combus tion humaine spontanée s'expliquaient par l'état d'imbibation alcoolique particulièrement prononcé des victimes. Une étincelle suffirait alors à les enflammer. Malheureusement, et le docteur Mann le reconnaîtra lui-même, de nombreux autres cas de combustion spontanée concernent des personnes qui ne buvaient que de l'eau. Pourtant, le rapport du chirurgien Mérille est formel : Pas un meuble de l'appartement n'était endommagé. On retrouva la chaise sur laquelle elle était assise, intacte, à une cinquantaine de centimètres. Le corps s'était consumé en moins de sept heures, bien que rien d'autre que les vêtements n'ait été calciné.
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